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Home Vie politique Dossier Zafy Albert : quand les milliards de Ravalomanana rend amnésique jusqu’au reniement de soi

Zafy Albert : quand les milliards de Ravalomanana rend amnésique jusqu’au reniement de soi

Zafy Albert et François Mitterrand (1916-+1996) en mai 1996 qui avait fait libéré le Commandant Richard Andriamaholison, injustement condamné par Didier Ratsiraka

Le doute n’est plus permis : Zafy Albert, lui-même messie au chapeau de paille s’est vendu, un auto-Judas, au second messie, richissime vendeur de yaourts. Ceux qui comprennent la langue de Jean Joseph Rabearivelo écouteront attentivement les vidéos suivantes. Pour ceux qui ne comprennent pas, les extraits traduits en français et consignés dans le présent dossier sont la preuve que les trois ex-présidents se foutent complètement du peuple malgache. Seul l’argent comptait et compte encore. Car il n’y a pas d’autres mobiles à ce comportement extra-terrestre de l’inénarrable professeur qui n’a même plus de profession de foi. Il en a même « oublié » son racisme notoire envers les merina des hauts plateaux. Pour quelques ariary de plus, de la part de l’homme qu’il n’a jamais reconnu être président, du début à sa fin. Le 2 mars 2011, il fallait le voir boire littéralement les paroles de Marc Ravalomanana, au téléphone de Johannesburg, qui ordonnait de ne pas baisser les bras. Le lendemain soir, le président Andry Rajoelina était victime d’un attentat Que le monde entier sache pourquoi ce n’était pas par hasard!

VIDEO OU ON ENTEND ET VOIT LE PROFESSEUR QUI N’A AUCUN SENS DE L’HONNEUR

 

TRADUCTION DES EXTRAITS DE CETTE LETTRE OUVERTE EN DATE DE SEPTEMBRE 2008

Son Excellence, Monsieur Marc Ravalomanana,

Voici quelques propos que vous avez tenus sur la place du 13 mai en 2002 :

« Je ne vais pas appauvrir les riches mais enrichir les pauvres.

J'offrirai à chaque citoyen du Nord, une voiture Renault 4 ; à chaque ménage de la province de l'Ouest un Frigidaire. Je concrétiserai pour Madagascar le développement rapide et durable ».

Six années sont passées, Monsieur Ravalomanana. Honnêtement, où en est le pays actuellement é

Après avoir entendu vos promesses, vos suppôts ont poussé des cris de joies, font entendre d'incessantes acclamations et des louanges accompagnées de danses. Beaucoup parmi eux vous ont même désigné comme le Messie, le sauveur. Marc Ravalomanana le Messie venu pour sauver le peuple malgache et le libérer de sa profonde pauvreté.

Les pauvres ont ainsi espéré pouvoir enfin s'enrichir. Malheureusement, depuis que vous avez accédé au pouvoir, le peu qu'ils avaient, s'est littéralement évaporé. Ils sont tombés en faillite totale, complètement dépouillés. Ils forment aujourd'hui la cohorte des mendiants qui peuplent tout le territoire national.

Ceux qui à l'époque formaient la classe aisée, se retrouvent aujourd'hui également dans une profonde pauvreté après que vous les ayez dépouillés vous-même de leurs biens. Pire, vous avez même juré de les écraser par tous les moyens, car cette classe aisée, constituait à vos yeux des concurrents potentiels à vos propres activités commerciales. Pour cela, vous avez tout fait pour les empêcher de faire fructifier leurs commerces ou encore de développer leurs entreprises en monopolisant toutes les activités juteuses du pays.

Vous vous êtes approprié toutes les activités lucratives dans tous les secteurs, aussi bien primaire, secondaire que tertiaire.

Vous n'hésitez pas à violer les lois, vous vous servez dans les caisses de l'Etat en toute illégalité et vous vous livrez à un système de monopole "sauvage" de l'économie nationale. Par ces faits graves, vous avez volontairement trahi le serment que vous avez fait à Mahamasina lors de votre investiture. Un serment par lequel vous vous êtes, pourtant, solennellement engagé à préserver coûte que coûte l'intérêt suprême de la Nation et garantir la liberté d'entreprise.

Comme un oiseau attrapant sa proie, vous vous êtes, au contraire, arbitrairement accaparer toutes les ressources et toutes les richesses disponibles dans le pays au profit de votre intérêt personnel. Et pour les autres, ceux qui aspirent à faire prospérer légalement leurs entreprises ou à développer leur propre société, vous leur avez offert soit la prison, soit l'exil, soit des amendes faramineuses. Ceux qui n'ont pas pu s'acquitter de leurs amendes se sont tout simplement vus confisquer leur patrimoine.

Pendant que vos sociétés Tiko et Magro poussent comme des champignons, les Malgaches eux se livrent à la mendicité et plongent dans une pauvreté irréversible habillés en haillons.

Votre comportement n'est pas digne Monsieur Ravalomanana. Vous êtes un poison pour le pays. Les conséquences se manifestent actuellement à travers cette pauvreté ambiante et toutes les misères que le peuple subit au quotidien : chômage qui s'accroît du fait de l'élimination de toutes les entreprises concurrentes ; dénuement total ; insécurité totale aussi bien en milieu rural qu'en milieu urbain. Les gens ne sachant pas s’ils vont mourir aujourd’hui ou demain.

Voilà de quoi est fait le quotidien du peuple malgache, chaque jour que Dieu fait.

Et devant tous ces faits graves, Monsieur Ravalomanana, vous n'avez même pas honte d'exhiber votre richesse insolente acquise de façon douteuse. Vous n'avez pas honte d'exproprier le peuple malgache de ses propres terres.

Vous n'avez pas honte de vous approprier des terrains domaniaux publics au profit de votre intérêt personnel. Vous n'avez aucun scrupule !

Il s’agissait de la traduction des extraits entendus dans la vidéo ci-dessus.

Mais cette lettre est longue comme un jour sans pain. Voici la suite des révélations authentiques de Saint Albert Zafy qui ne ment pas :

Vous vous moquez du peuple malgache, Monsieur Ravalomanana. Parce que vous vous sentez, actuellement, très puissant, trop puissant même, grâce à tous les pouvoirs que vous avez concentré dans vos mains. Vous vous permettez d'adopter une posture arrogante envers eux ; vous n'hésitez pas à rabaisser ce peuple, vous vous complaisez constamment à les humilier. Vous ne vous souciez nullement de leur sort.


Vous aimez bien vous amuser à détruire vos compatriotes, qu'ils soient des opérateurs économiques, des politiciens ou bien des jeunes, car vous vous croyez être le meilleur et le plus fort.

Ne vous habituez pas à pister le chemin des caïmans, Monsieur Ravalomanana. Ne vous complaisez pas à attraper le serpent dans son trou.

Vous avez dit, Monsieur Ravalomanana, que vous allez gouverner Madagascar comme vous gérez votre société Tiko. Vous aimez répéter à l'envi, en parlant du peuple malgache, qu'ils sont vos sujets. Ceci étant, vous considérez donc le peuple malgache comme les sujets de Tiko, de simples employés et non des citoyens souverains.

Mais pour qui vous prenez-vous exactement, Monsieur Ravalomanana, pour que vous osiez traiter et réduire le peuple malgache à de simples sujets au service d'une société commerciale ?
Qu'est ce que vous croyez donc pouvoir faire avec votre richesse aussi abondante soit-elle ?

Vous ne respectez nullement les militaires malgaches. Vous n'hésitez point à les rabaisser et à les insulter publiquement. Vous les considérez, au même titre que tout le peuple malgache, comme de simples employés de Tiko.

Vous leur confiez volontairement des tâches qui ne correspondent pas à leurs fonctions ni à leurs missions, ce qui est très dévalorisants pour leur rang, comme, par exemple, celle de s'occuper de la propreté et de l'hygiène des vaches laitières appartenant à votre société Tiko, ou encore à nettoyer leurs défécations, ou à garder des boucs et des troupeaux de porcs.

Vous vous complaisez à humilier les militaires et les membres de la défense nationale en leur faisant régulièrement des procès dont l'impartialité est notoirement douteuse, et durant lesquels ils ont rarement le droit de se défendre.

Vous vous complaisez à les emprisonner à Tsiafahy, quand bien même la plupart des procès n'a finalement qu'un caractère purement politique. Votre action à l'endroit de l'Armée s'apparente à une vengeance contre ce corps, celui qui a gardé sa neutralité, donc refusant de soutenir votre auto-proclamation du 22 février, durant la crise politique de 2002.

Ceux, parmi les prisonniers, qui sont malades, se voient refuser une autorisation de se soigner malgré l'existence de certificats médicaux ; Beaucoup, d'ailleurs, sont morts en prison à cause de ce refus ; Dans la plupart des cas, vous attendez que les malades soient en phase terminale avant de les autoriser à sortir de prison pour se faire soigner. Un comportement qui déroute et interpelle de nombreux médecins.

Alors que dans le cadre de la pacification, des milices dénommés "zanadambo" et agissant sous vos ordres, se sont livrées à de multiples exactions, meurtres, viols, pillages, tortures et crimes odieux (comme couper les oreilles et le nez de leurs adversaires), leurs agissements ont été impunément commis, et aucun d’entre eux n'a été jugé ni condamné.

En suivant votre logique, Monsieur Ravalomanana, vous méritez, vous aussi, d'être emprisonné et torturé eu égard aux crimes que vos troupes ont commis durant cette période de crise de 2002.

Vous occultez volontairement à l'Armée sa dignité, vous piétinez son honneur : Des promotions en grade sont effectuées par clientélisme, envoi massif des officiers supérieurs en retraite anticipée, les "rétrogradations" sont légions ! Tout cela prouve que vous n'agissez que par esprit de vengeance et par la volonté de nuire à l'Armée, qui est le garant de la République.

Ne vous étonnez pas si un malaise s'installe au sein de l'armée, rapporté par les médias régulièrement dans leurs colonnes. Ne vous étonnez pas lorsque vous entendez qu'il y a des "tentatives de coup d'état" par-ci ou des vols d'armes dans des casernes par là, ce qui renforce l'insécurité publique avec la prolifération d’armes aux mains des malfaiteurs. Car, pour certaines personnes, celles que vous avez constamment humiliées, et auxquelles vous avez enlevé la dernière dignité, il ne leur reste plus que ces options dangereuses comme réflexe de survie.

Ne vous étonnez donc point de tout cela car ce ne sont que les conséquences directes de vos actions calamiteuses.

Ne vous étonnez pas de voir que des gens, des fous ou pas, cherchent à vous jeter des pierres, cherchent à s'introduire dans un temple, au palais d'Iavoloha, au palais d’Ambohitsorohitra, dans le dessein de vous nuire, car ce ne sont que les conséquences des faits insupportables dont vous êtes la seule cause.

Globalement, pour des motifs politiques, vous emprisonnez des militaires, vous emprisonnez des civils, vous avez même violenté et emprisonné vos propres miliciens de 2002 lorsqu'ils ont réclamé la prime de guerre que vous leur avez promis. Leurs familles ont été menacées et intimidées. Aussi, ne vous étonnez pas si l'insécurité règne au pays.

Vous croyez en fait, naïvement, que le titre de chef suprême des Armées et le titre de président du Conseil supérieur de la magistrature vous donnent la prérogative d'humilier, de rabaisser à les militaires et les magistrats. Vous vous égarez dangereusement Monsieur Ravalomanana. Et le peuple malgache dans tout çà ?

Ras-le-bol ! Ras-le-bol total ! Le peuple malgache en a plus que marre de vous, Monsieur Ravalomanana. Ils ont en marre des mensonges que vous produisez à profusion et dont vous avez le secret. Ils en ont marre des fraudes et tricheries électorales à n'en plus finir. Ils en ont marre de ces violations répétées des lois. Ils en ont marre de ces détournements des deniers publics.

Si, à présent, vous vous demandez ce que le peuple malgache pense de vous, Monsieur Ravalomanana, soyez certain de la réponse : Le peuple malgache vous a depuis longtemps quitté.

La preuve la plus flagrante en est l'élection communale du 12 décembre 2007 dernier. Malgré l'appui financier et le soutien politique voire administratif conséquent que vous avez déployé à Antananarivo, vous avez été platement battu. C'est la raison pour laquelle vous vous comportez comme un irresponsable envers l'actuel Maire d'Antananarivo en sabordant par tous les moyens la gestion de la ville par celui-ci. Vous avez même osé rabaisser de catégorie la commune d'Antananarivo en la reléguant au rang des autres communes, ce qui lui enlève son statut particulier de capitale du pays que vous prétendez conduire.

Une autre preuve aussi pour démontrer que le peuple vous a quitté, Monsieur Ravalomanana, est l'audace de la population vivant dans les communes rurales, malgré la force d'oppression que vous détenez, à fermer, de force, les bureaux de votes dans lesquels vos agents cherchaient à manipuler les choix du peuple en votre faveur. Cela signifie que même le peuple de base ose se révolter, ouvertement, contre vos méthodes brutales dans la pratique du pouvoir.

Vous êtes perdu, Monsieur Ravalomanana, car le peuple vous a clairement abandonné.

Il est donc faux de dire que le peuple malgache vous apprécie encore.

Sachez donc que ces révoltes et ces choix pour des candidats non issus de votre formation politique, sont des sanctions que le peuple malgache vous afflige. C'est également un avertissement clair que le peuple adresse à vos serviteurs, ces chefs de districts, ces chefs de régions, ces ministres-coach, ces chefs de fokontany, ces gens à qui vous avez donné l'ordre de commettre toutes ces fraudes électorales honteuses et toutes ces basses besognes, dans tout le pays.

Le peuple malgache en a plus qu'assez de vous tous, Monsieur Ravalomanana.

Qu'en est-il des opérateurs économiques ?

Comme je l'ai dit précédemment, vous les avez tous éliminés, écrasés. Vous les empêchez ouvertement de s'émanciper. Ainsi, vous serez le seul maître à bord à travers tout le pays. Telle est votre unique ambition, Monsieur Ravalomanana. La raison de votre arrogance actuellement.

Vous avez donc actuellement ce que vous avez toujours convoité, Monsieur Ravalomanana, c'est-à-dire être l’homme le plus puissant de Madagascar aussi bien dans le domaine politique que dans le domaine économique, et surtout en termes de pouvoir. Et, actuellement, vous êtes l'homme le plus puissant de Madagascar.

Mais quels sont les conséquences sinon les contreparties ?

Tous ceux qui vous ont soutenu politiquement vous ont quitté. D'ailleurs, bons nombres d'entre eux sont déjà emprisonnés. Tous les opérateurs économiques, fer de lance de l'économie nationale, qui ont cru en vous, vous ont abandonné. D'ailleurs, bons nombres d'entre eux, sont déjà tombés en faillite et ont rejoint les cohortes de pauvres. Le peuple malgache, même, celui que vous croyez être acquis à votre cause, vous a, incontestablement, lâché.

Maintenant vous êtes seul, Monsieur Ravalomanana. Qu'allez-vous faire maintenant ?  Sur qui allez-vous compter, désormais ?

J’arrête là cette « lettre ouverte ».

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19 février 2011, aéroport d'Ivato. Zafy Albert attend le "retour" de celui qu'il avait sévèrement mis devant ses 4 vérités. A droite, Manandafy Rakotonirina, "Premier ministre" par téléphone de Marc Ravalomanana. Il n'y a plus de logique ches les politocards malgaches

La réponse à  phrase "sur qui allez-vous compter désormais" ? Marc Ravalomanana compte sur Zafy Albert en personne, actuellement ! Incroyable mais vrai. Le vieux professeur (84 ans) n’a plus aucune notion de respect de soi-même. En tout cas, cette « lettre ouverte », démontre clairement que le peuple malgache s’est détourné de son sponsor actuel et que, tôt ou tard, il aurait été jeté hors du pouvoir par la rue et obligé de s’exiler. Cela démontre surtout qu’il n’y a jamais eu de coup d’état à Madagascar le 17 mars 2009.

AUTRE VIDEO DES MEMES EXTRAITS, ILLUSTREE DE PHOTOS QUI DEMONTRENT QUE ZAFY ALBERT ET MARC RAVALOMANANA SONT DE BIEN PIETRES ACTEURS, MAIS QUI ONT REUSSI A TROMPER LEUR MONDE

A présent faut-il blâmer ou plaindre Zafy Albert ? Car, quoi qu’il dise, qu’il me traîne devant un tribunal, il est certain que Ravalomanana lui donné de l’argent. Beaucoup d’argent. La preuve ? Les passants sont étonnés de voir que le mur de la villa Elisabeth, en ruines depuis fort longtemps, vient d’être ravalé et repeint. En plus d’être Zafy Albert manque d’intelligence. C’est grave professeur. Quel genre de « peuple » va suivre une telle girouette ? Et quelle entité internationale lui donnera encore du crédit ? Mais il est vrai que la doctrine de Gallieni résiste au temps. Car c’est ce genre de Malgaches dont a besoin la Communauté des intérêts internationaux. Un Zafy Albert diviseur pour qu’elle règne sur les richesses malgaches. Moralité : ce n’est pas la Grande île qui est pauvre mais ce sont les dirigeants de l’espèce de Zafy Albert qui son pauvres d’esprit, malgré leurs diplômes.

Ils étaient tous les trois élus et ils ont tous été jetés hors du pouvoir par la rue. Au total, ils font 72 + 84 + 62 = 222 ans ! Quel avenir, quel espoir peuvent-ils bien représenter et proposer sinon un partage du pouvoir pour garantir le peu de vie qui leur reste ?

Il faudra voir la tête franchement hypocrite des ambassadeurs sur place qui vont le recevoir, lui et le « peuple malgache » lorsqu’ils iront remettre la liste des membres de cette "véritable transition" dont il a fait allusion le 3 mars 2011. Humainement, c’est triste de voir un vieillard de 84 ans finir aussi mal sa vie. Mais comme on vit en minable, on meurt aussi en minable. Il vivra 100 ans mais dans le dénuement total et oublié de tous dans la maladie d’Alzheimer qui le guette dangereusement. Et c’est ce vieux prétentieux qui s’arroge le titre de Président d’un comité de « réconciliation nationale ». Empereur de la division nationale serait le titre le plus approprié et conforme à sa mentalité indigne d’un « raiamandreny » (aîné à qui l’on doit le respect). Mais s’il ne se respecte pas lui-même, qui va le respecter encore et pour quelle raison réelle ? Comment ose-t-il, LUI ET MAINTENANT, demander le retour de Ravalomanana  à présent ? On peut pardonner mais comment oublier comme le fait Zafy Albert, s’il n’y a pas quelques milliards qui ont le pouvoir d’effacer la mémoire d’un catholique pratiquant ? Moralité : qui se ressemble s’assemble. Tôt ou tard. Seulement, en ce siècle des nouvelles technologies, personne ne peut effacer totalement les archives de l’Histoire même de l’Humanité. Et je compte contribuer pleinement à laisser des traces de ces vérités qu’on veut escamoter pour vivre le temps présent, mais qui remontent toujours et frappent comme un coup de boomerang, les amnésiques insensés comme Zafy Albert. Tout le monde a le droit strict d’avoir des opinions personnelles et les partager au grand public mais on ne peut pas permettre à tout le monde d’avoir une telle capacité de nuisance, jusqu’à appeler à la guerre civile à Madagascar. Et avoir largement dépassé l’espérance de vie moyenne dans la Grande île, ne peut être une excuse.

Jeannot RAMAMBAZAFY – Samedi 5 mars 2011

Mis à jour ( Dimanche, 06 Mars 2011 11:47 )  
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