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C’est ici que vous trouverez les dernières nouvelles sur le Sommet de la Sadc qui se tient à Windhoek, en Namibie, à partir de ce 20 mai 2011. Vous aurez donc à y revenir, madagate.com n’étant pas fan du fameux « fil d’info » qui ne fait qu’effleurer une situation. L’information brute ne fait… qu’abrutir les lecteurs et constitue une porte ouverte à radio trottoir.
EVOLUTION DE LA SITUATION DES JOURNEES DU 19, 20, 21 MAI 2011 A WINDHOEK.
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Windhoek, 21 mai 2011, 00h30 (Heure de Madagascar)
EXTRAITS DU COMMUNIQUE CONJOINT SUR MADAGASCAR
Pour résumé, la feuille de route de la Sadc (et non de Leonardo Simao) a bel et bien été acceptée par le sommet extraordinaire de la Sadc. Une dernière étape à Gaborone (Botsawana) achèvera sa mise au point finale. Ultime chance pour les politiciens des trois mouvances de participer à la transition dirigée par Andry Rajoelina. Attention tout de même : accepter ne signifie pas encore valider. Et c'est là que se situe la philosophie de la très haute diplomatie : ménager la chèvre et le chou, sans considération des dommages collatéraux dus à cette tergiversation, dans le langage direct. Combien d'imbécilités encore avant d'accepter l'inéluctable ? (madagate.com).
La résolution de la réunion au sommet tant attendue de la SADC à propos du processus de sortie de crise a demandé une autre réunion. Très tard dans la nuit du vendredi 20 mai 2011, les chefs d’État et de gouvernement des pays de la SADC réunis de manière extraordinaire ont pris la décision de ne rien faire que de désigner le Conseil de défense, de sécurité et de la paix (sorte de conseil de sécurité) et de lui confier la mission de convoquer les parties malgaches au siège de la SADC à Gaborone au Botswana.
Le Sommet a examiné le rapport de Joachim Chissano, médiateur de la SADC sur Madagascar et a noté l’évolution de la feuille de route pour le retour de Madagascar à la normalité constitutionnelle. Il a félicité Joaquim Chissano pour ses efforts de réunir les parties prenantes dans le processus de réconciliation et de trouver une solution durable pour ce pays.
Mais le Sommet a de nouveau revendiqué un processus ouvert à tous pour une solution durable aux défis auquel Madagascar fait face. En clair et si on devait positiver la résolution, la feuille de route pourrait être revue avec les trois mouvances. La médiation doit être conduite par le Conseil de sécurité de la SADC. (Grandbaie)
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Windhoek, 20 mai 2011 - minuit (Heure d'Antananarivo)
Le Secrétaire exécutif de la Sadc, Tomaz Salomao est pressé d'en finir en ce qui concerne la crise politique à Madagascar, qui n'a que trop duré
Les leaders d’Afrique australe ont offert une dernière chance à l’opposition de Madagascar d'accepter la feuille de route qui mènera le pays vers les élections sous la direction de l’homme fort Andry Rajoelina.
Tomaz Salomao, le secrétaire exécutif de la Sadc, à la clotûre du sommet, vendredi, a déclaré que « le sommet extraordinaire avait décidé de faire un dernier effort pour essayer de les convaincre de la nécessité d’appliquer la feuille de route ».
Résumé du Communiqué conjoint publié à l'issue de la réunion de vendredi:
« Le sommet a réitéré le besoin d’un processus politique inclusif pour la recherche d’une solution durable aux défis dont doit faire face le pays ».
(madagate.com – traduit de l’anglais)
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Windhoek, 20 mai 2011 : Le cheveu dans la soupe
Ultime joker : Denis Andriamandroso, ambassadeur de Ravalomanana, plutôt que de Madagascar en Afrique du Sud, tente de convaincre Tomaz Salomao de ne pas accepter la feuille de route de la Sadc. Mission à moitié réussie mais ce ne sera jamais que reculer pour mieux sauter à Gaborone
(photo Alexander Joe - Afp)
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Windhoek, 20 mai 2011 - 17h (Heure d'Antananarivo)
Le Président namibien Hifikepunye Pohamba
Les leaders de l’Afrique australe sont réunis depuis ce vendredi à Windhoek, Capitale de la Namibie, pour se pencher sur une stratégie qui permettra d’amener l’organisation d’élections à Madagascar, dirigé par l’homme fort du pays, Andry Rajoelina.
Les huit leaders de ce sommet extraordinaire de la SADC se pencheront aussi sur la reconsidération de la crise au Zimbabwe, mais une décision ferme sur le cas de Madagascar serait encore plus appréciée.
“Le sommet considérera les rapports sur les efforts de médiation en cours au Zimbabwe et à Madagascar », a déclaré le Président namibien Hifikepunye Pohamba, lors de son discours d’ouverture.
Sur Madagascar, on s'attend à ce que les chefs décident s'il faut endosser la feuille de route qui permettra à Andry Rajoelina de rester au pouvoir jusqu'à ce que de nouvelles élections soient organisées, peut-être d'ici novembre.
(madagate.com - traduit de l'anglais)
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20 mai 201
Windhoek
Le Sommet de la SADC se penche sur des questions régionales
Les Chefs d'État et de gouvernement de la Communauté de Développement de l'Afrique Austral (SADC) se réunissent ce vendredi à Windhoek, pour aborder des questions de cette région du continent. Le ministre angolais des Relations Extérieures, Georges Chicoty, représentera le Président de la République, José Eduardo dos Santos.
L'ordre du jour de la réunion est en discussion, vu qu'il y a encore quelques divergences, a indiqué à la presse le secrétaire exécutif de la SADC, le Mozambicain Tomás Salomão.
Ces divergences portent sur la participation de certains Chefs d'État, notamment le Sud-Africain, Jacob Zuma, l'un des principaux intervenants de la question du Zimbabwe, où il y a encore des divergences entre le gouvernement et l'opposition, a-t-il assuré. Il y a un mois, le Premier ministre du Zimbazwe, Morgan Tsivangirai, a séjourné à Luanda pour informer le Président José Eduardo dos Santos sur les derniers développement de la situation dans son pays.
Mercredi dernier le Président malgache, Andry Rajoelina, dont le gouvernement est contesté par la majorité des pays membres de la Sadc a été reçu en audience par le numéro un angolais. Andry Rajoelina a déclaré à la presse au terme de sa visite de travail que l'entretien avec Eduardo dos Santos a été positif, précisant que l'Angola fera le suivi de la situation dans son pays pour un "itinéraire de paix". Il a informé que Madagascar s'acheminait vers le retour à la Constitution, d'où la nécessité de bénéficier de l'expérience de l'Angola pour dépasser la crise éclose depuis 2009. L'Angola assumera, à partir d'août prochain, la présidence rotative de cet Organisme régional, en substitution de la NamÃbie. (Angola Press)
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20 mai 2011
Windhoek
Une farce monumentale
Le désordre organisationnel entourant le Sommet de la SADC, qui se tient à Windhoek aujourd'hui et demain est une histoire inquiétante à propos de la direction que compte prendre les leaders de ce bloc économique de 15 nations pour leurs 258 millions de citoyens.A chacune de leur rencontre, ils discutent de fois qu'ils rencontrent de mesures de sécurité qui semblent focaliser des perspectives de succès pour ce groupement régional.
Les leaders de la SADC ont convoqué ce sommet extraordinaire, apparemment pour résoudre les conflits politiques de longue date à Madagascar et au Zimbabwe. Une question encore plus épineuse est, peut-être, de savoir les vraies raisons qui ont conduit les chefs des états membres, l’an dernier, de reporter la décision du Tribunal de la SADC, de suspendre un Etat membre (Ndlr : Le Zimbabwe). Au mépris du respect de l’indépendance de la Justice. L’un des deux pays en question (Ndlr: Madagascar), attend une mise à jour des conditions au sujet de sa sortie de crise qui devrait être annoncée à l’issue de ce sommet.
Il ne serait pas surprenant que ces leaders de la SADC mettent dans le même sac les problèmes de Madagascar, ceux de Zimbabwe et du tribunal. Du coup, ils ne pourront pas parler de progrès ou de statu quo. A se demander alors si la SADC est d’une quelconque utilité (…).
Déjà , à ce sommet, il a été confirmé que l'impasse politique au Zimbabwe ne sera pas résolue. Or, un accord SADC-Zanu-PF et le Mouvement pour le Changement Démocratique (MDC) avait programmé la réforme des institutions et l’organisation d’élections équitables et démocratiques dans le pays. En l’état actuel des choses, il semble que le Zanu-PF du Président Robert Mugabe estime qu'il a tous les contrôles pour organiser des élections, alors qu’au Zimbabwe, l'insécurité prédomine. Cette situation paraît semblable à Madagascar. Pire, les leaders de la SADC semblent heureux d’écarter toute décision de leur tribunal.
C'est triste de constater que ces chefs semblent incapables de respecter leurs paroles et les décisions de la cour de justice régionale qu'ils avaient eux-mêmes mise en place pour statuer en dernier ressort. Ces chefs perdent leur temps en blâmant le colonialisme, bien que ses vestiges n’existent plus dans quelques pays depuis plus de trois décades.
Le passe-temps favori de la SADC est de rendre les impérialistes responsables de toutes les sortes de problèmes de nos pays. Or, ceux-ci ont été créés par nos propres décisions.
Les populations de ces pays (qui attendent depuis longtemps la prospérité promise) continuent-elles à croire ces leaders dont les moyens personnels d'existence se sont améliorés au détriment de leurs concitoyens qui ont vu les leur décliner de jour en jour ? Il est temps que nos leaders prennent leurs populations au sérieux, écoutent leurs doléances et agissent en conséquence. Les raisons de l'existence de la SADC en dépendent.
Le sous-continent a besoin d'un panel de leaders qui promeuvent sincèrement l'harmonie et la croissance économique. Persister à agir et décider en sens contraire, c’est considérer les citoyens de la SADC comme des moins que rien.
La farce entourant le présent sommet devrait être vue comme la preuve que la Sadc fera tout pour faire stagner les choses et que les vrais problèmes ne seront pas traités. Cela dit, nous pouvons tous oublier le rêve utopique de la SADC qui est : « la croissance économique équitable et le développement socio-économique ». Ce qui nous entrainera dans un cycle d'une vie dépressive de pauvreté et de retard, comparé au reste du monde.
Traduit de l’anglais par Jeannot Ramambazafy
Source : The Namibian -20 mai 2011)
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20 mai 2011
SADC executive secretary, Mozambican Tomás Salomão, told Angolan journalists the meeting will discuss matters concerning the impact of the international economic crisis on the region and the establishment of the regional court.
The situation prevailing in Zimbabwe and in Madagascar will also be discussed at the meeting, the diplomat said.
Le secrétaire exécutif de la SADC, le Mozambican Tomás Salomão, a déclaré aux journalistes angolais que la réunion discutera des questions concernant l'impact de la crise économique internationale sur la région et l'établissement de la cour de justice régionale.
La situation qui prévaut au Zimbabwe et à Madagascar sera aussi discutée à la réunion, a ajouté le diplomate. (Angola Press)
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20Â mai 2011
Kinshasa
Le sommet de Windhoek est axé essentiellement sur les questions de fonctionnement et d’organisation du Tribunal de la Sadc. 
Le Président Joseph Kabila Kabange est arrivé jeudi à 15 heures locales à Windhoek, en Namibie, où il prendra part vendredi au sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de gouvernement de la Communauté économique pour le développement de l’Afrique australe (SADC), axé essentiellement sur les questions de fonctionnement et d’organisation du « Tribunal de la SADC ». (Digital Congo)
Les travaux de la Communauté économique pour le développement des Etats de l’Afrique Australe (SADC) se tiennent à partir de ce vendredi 20 mai 2011 à Windhoek, la capitale de la Namibie. Plusieurs chefs d’Etat et de gouvernement prennent part à ces travaux. Le président congolais Joseph Kabila est arrivé hier jeudi 19 mai 2011 à Windhoek. Les travaux de la SADC auront comme point à l’ordre du jour notamment la situation sécuritaire dans la sous région, la lutte contre le changement climatique la redynamisation de la coopération régionale dans les domaines économique, scientifique, culturel et touristique, la redynamisation des échanges et commerce interrégionaux entre les pays de la SADC. (Ndlr: Where are Madagascar and Zimbabwe?). (Congo Senego)
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19 mai 2011
Port-Louis
le Dr Navin Ramgoolam a mis le cap sur la Namibie au courant de la matinée du 19 mai 2011 où il participera au sommet extraordinaire de la SADC, qui s’ouvre le 20 mai 2011 à Windhoek.
Il s’agit d’un sommet décisif pour l’avenir de Madagascar qui a pour  objectif  de tenter d’apporter une solution à la crise malgache. Une feuille de route de sortie de la crise qui perdure devrait être rendue publique.
Le sommet permettra aussi de connaître plus précisément la position des pays d’Afrique australe concernant l’avenir de Madagascar et l’éventuelle reconnaissance du gouvernement de transition par la communauté mondiale. (Grand Baie)
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19 mai 2011
Port-Louis
Arvin Boleell, ministre mauricien des Affaires étrangères, en partance pour Windhoek : « Une fois la feuille de route approuvée par les chefs d’État, Maurice réclamera la levée de toutes les sanctions imposées par l’Union européenne et les États-Unis contre Madagascar », a déclaré le ministre mauricien des Affaires étrangères Arvin Boolell, avant son départ pour la Namibie. « Maurice lancera aussi un appel aux institutions internationales, dont l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), pour aider la Grande île à organiser des élections libres et équitables », a-t-il ajouté. (AFP)
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19 mai 2011
Lusaka
On his trip to Windhoek, Namibia where he has gone to attend a two-day Extra Ordinary Summit of the Southern Africa Development Community-SADC, President Banda said the region is concerned about events in Madagascar and Zimbabwe.
En partance pour Windhoek, en Namibie, où il assistera à un Sommet Ordinaire Supplémentaire de deux jours de la SADC, le Président Banda a déclaré que la réunion sera concernée par les événements à Madagascar et au Zimbabwe. (Lusaka Times)
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19 mai 2011
Windhoek
Le ministre des Relations Extérieures Angolais Georges Chicoty, est arrivé ce jour, à Windhoek, en Namibie, où il représentera le Président José Eduardo dos Santos au Sommet Extraordinaire de la Communauté de Développement de l'Afrique australe (SADC). La situation qui prévaut au Zimbabwe et à Madagascar sera également au menu de la rencontre. (Angola Press).
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19 mai 2011
Harare
Mugabe, who left Harare this Thursday afternoon, was received at the Windhoek Airport by the Namibian Foreign Affairs Minister, Utoni Nujoma instead of the country's President, ahead of the summit which is expected to discuss other issues and not the Zimbabwean crisis.
Mugabe, qui a quitté Harare ce jeudi après-midi, a été reçu à l'Aéroport Windhoek par le Ministre des Affaires étrangères Namibian, Utoni Nujoma, au lieu du Président namibien, pour ce sommet qui discutera de problèmes autres que la crise Zimbabwéenne.
The executive secretary of the SADC Secretariat, Tomaz Salomâo has already said the Zimbabwe and Madagascan issues are not on the agenda.
Le secrétaire exécutif du Secrétariat SADC, Tomaz Salomâo a déjà déclaré que les sorties de crise du Zimbabwe et de Madagascar ne sont pas à l'ordre du jour. (Zimbabwe mail).
Dossier de Jeannot Ramambazafy