Pauvres zanak'i Dada gavés de mensonges au quotidien
Certes, en tant que chef d'Institution de cette cinquième période de transition que traverse la Grande île de l'océan Indien, Mamy Rakotoarivelo a droit aux sirènes ouvreuses. Mais l'utilisation de ces sons nocifs est extrêmement exagéré, et la plupart des Antananariviens en arrivent à comprendre que ce travers -démonstration inutile de puissance publique- est l'illustration d'un arrivisme aigü du personnage. Que dit la rue (et no la rumeur) du côté d'Ankadifotsy Ankaditapaka ? "F'angaha dia mihevitra fa ho eo amin'io toerana Filohan'ny CT io mandrapahafaty e ?". Traduction littérale: il croit peut-être qu'il sera Président du Congrès de la Transition jusqu'à sa mort?
Mamy Rakotoarivelo et son alter ego féminine Me Hanitra Razafimanantsoa Rakotomavo, un autre numéro aussi que cette menteuse inébranlable
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Mais si ce n'était que cela. Je ne sais par quelle magie, mais il a réussi à détourner certains journalistes du groupe fondé par Willy et Marthe Rajaofera Andriambelo (Midi Madagasikara et Gazetiko) de leur mission sacrée: informer mais ne pas désinformer et surtout ne pas mentir. Jusqu'où ira-t-il pour les yeux du beau Marc d'Imerikasinina ? Le dernier mensonge en date ? Lisez sous la photo plus haut. Le ridicule n'a plus jamais tué personne de nos jours et ce n'est pas la honte qui étouffera Mamy Rakotoarivelo au physique de poupon très trompeur comme un éléphant (çà trompe énormément. Il ne connaît plus de limites mais semble envoûté par sa puissance empruntée. Au final, il ne ment plus qu'à lui-même, ces journaux ayant perdu toute crédibilité aux yeux du monde. Ce qui est gravissime pour Marthe et Willy (WM), les pauvres beaux-parents d'un gendre insensé. Ces tristes sires n'ont jamais connu le Colonel Richard Ratsimandrava (assassiné le 11 février 1975). Ils ignorent donc son conseil avisé: "Dites tout ce que vous voulez à propos de moi, mais ne mentez pas !". " Lazao daholo izay tianareo ho lazaina momba ahy fa aza mandainga! "
Et il n'existe qu'une vérité -on peut mentir à une personne une fois mais on ne peut pas mentir à tout le monde tout le temps- et elle vient du Président tanzanien en personne, également Président de la Troïka de la Sadc. En rapport au retour de Lalao Ravalomanana. Sans commentaire, ni interprétation dont raffolent certains "pros" de Midi, ci-après la lettre originale en anglais adressée à l'ex et sa traduction en français. Déjà , les médiaboliques parlent de «non consentement» de Ravalomanana qui est subitement devenu muet. Mais qui ne dit mot consent, non? Comment ? Ils vont me traîner en justice? Bravo ! Déjà je plaide coupable d'avoir dévoilé au grand jour une vérité de La Palice, un truisme.
Jeannot Ramambazafy – 9 mars 2013