Andry Rajoelina dit aussi Andry TGV est jeune. Mais la valeur économique n'attend pas le nombre des années. Que pense-t-il, justement de la notion de développement dans le contexte économique ?
Nous l'avons rencontré exclusivement, hier 1er mars, en son bureau du côté d'Ambodivony Ankadifotsy. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Andry est le Président-Directeur Général de la société INJET, spécialiste dans les panneaux pulbicitaires très grands formats. Ce qui a suscité des jalousies en très haut lieu... Mais nous n'étions pas là pour évoquer cela. Nous y sommes allés sachant qu'il était membre du Jeune Patronat de Madagascar mais que nous ne l'avions pas aperçu à l'Aft. En fait, Andry est un jeune homme trsè débordé. Il n'a plus le temps à lui, surtout depuis qu'il a repris la station de télévision Ravinala. Sachant que son temps était précieux, nous ne lui avons posé qu'une seule et unique question. Quelle est votre définition du mot développement, dans le contexte économique ?
Réponse : "Pour moi le développement, c'est intensifier autant que possible tous les secteurs de production. Mais nous ne pourrons pas avancer si nous ne faisons pas primer le professionnalisme. C'est une condition sine qua non de tout développement. Qu'il soit économique ou humain".
En tout cas, Monsieur le Pd-g sait de quoi il retourne, sinon il ne serait pas où il est actuellement. Au sommet, tout en gardant ce regard d'enfant toujours étonné mais à qui on n'en conte pas. Mais ce qui est remarquable avec Andry Tgv, c'est sa manière de mener sa barque. Si on ne le connaissait pas, on ne saurait jamais, dans ses manières et sa façon d'agir qu'il est un poids lourd financier nin négligeable. Dans le cadre de création d'entreprise, Andry est l'image de l'exemple à imiter.
Jeannot Ramambazafy
Journaliste
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