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Madagascar et Covid. « Le Monde » néocolonialiste du IIIè millénaire à la Caramel démasqué

Et voilà : encore un cas flagrant qui conforte le fait qu’à un moment ou à un autre, tous les pays africains anciennement colonisés par la France - et en déstabilisation permanente- se réveillent et réagissent comme tout état souverain qui se respecte.

Ainsi, suite aux « propos désobligeants » envers les autorités maliennes de transition, tenus par les autorités françaises, le Président Emmanuel Macron en tête -le 28 juillet 2022 en Guinée Bissau-, voici les déclarations du Colonel Abdoulaye Maïga, Ministre malien de l'Administration territoriale et de la Décentralisation et Porte-parole du gouvernement : «Le Gouvernement de la Transition exige du Président Macron d'abandonner définitivement sa posture néocoloniale, paternaliste et condescendante pour comprendre que nul ne peut aimer le Mali mieux que les Maliens eux-mêmes». Le temps béni des colonies ayant fait long feu, les assassinats politiques aussi, les derniers soldats français de la force Barkhane ont quitté la base de Gao, le 15 août 2022.


 

Au fait, quels étaient les vrais intérêts de la France, ayant justifié sa présence au Mali ? Il s’agissait d’intérêts purement économiques et industriels axés sur l’or, le calcaire, le sel... Mais aussi la bauxite, le fer, le pétrole peu exploités jusque-là. Enfin, selon Stéphane Lhomme, Directeur de l'Observatoire du nucléaire français : « Le plus grand intérêt d’un pays comme la France est surtout de garder la paix au Mali, notamment pour protéger ses gisements d'uranium au Niger voisin ». Areva, vous connaissez ?


A propos de l’Afrique en général, lors d’une émission sur TV Libertés, Bernard Lugan, historien français, africaniste ayant enseigné à l'université nationale du Rwanda de 1972 à 1983, était l’invité du journaliste et homme politique, Martial Bild, ancien cadre du Front national de Jean-Marie Lepen. Extraits limpides :

Question de Martial Bild, stoppée : (…) Vous savez bien que si on arrête de donner la becquée à un oiseau qui ne sait faire que la recevoir…

Réponse de Bernard Lugan : « Les Africains sont capables de vivre. Les Africains, à travers le temps, à travers l’Histoire, ont montré qu’ils avaient traversé diverses époques. Le problème c’est que nous avons imposé un mode de développement à l’Afrique. C’est çà ! Le Développement, ce n’est pas la Coopération. Quand De Gaulle a donné l’Indépendance à ces pays africains, il ne leur a jamais promis le Développement ! Il leur a promis la coopération. Or, la Coopération s’est transformée en Développement. Qui dit Développement dit Développement par rapport à nos modèles. Alors, pendant un certain temps, certains pays, les pays soviétiques ont voulu proposer les modèles de type socialiste pendant que nous, nous proposions les modèles de type libéral, tous ont échoué !

Le drame est que tous ces modèles plaqués sur l’Afrique sont des modèles qui sont des modèles étrangers à l’Afrique. Pourquoi ? Car ce sont des modèles qui reposent sur des expériences individualistes. Or, l’Afrique, les Afriques, sont des parties communautaires. Vous ne pouvez pas greffer des prunes sur un palmier, même si vous mettiez trois tonnes d’engrais. Le porte-greffe ne fonctionne pas. LES AFRICAINS NE SONT PAS DES EUROPÉENS PAUVRES A LA PEAU NOIRE. Ils ont leur civilisation ; ils ont leur façon de penser.

Et ce qui est traumatisant pour l’Afrique, pour les Africains, c’est de vouloir les considérer précisément comme des Européens pauvres à la peau noire. Alors tous les modèles qui ont «marché», entre guillemets, chez nous, doivent leur être appliqués : la démocratie, les droits de l’homme, le libéralisme, etc. Eh bien, on va à l’échec. Car le problème de l’Afrique, c’est cela. Ce n’est pas l’économie ; ce n’est pas le manque de développement. C’est un problème d’ordre psychologique, sociologique, culturel. Et surtout un MODÈLE D’ARROGANCE INTELLECTUELLE QUE NOUS AVONS (La politique de la France et non tous les Français), avec notre européocentrisme, né dans ce petit cap de l’Europe qui représente géographiquement le 20è de la planète ou le 30è de la planète, peuplé par le 10è de la planète, et QUI PRÉTEND VOULOIR DONNER DES LEÇONS AU MONDE ENTIER. Aussi bien à Poutine qu’aux Chinois qu’aux Africains. Eh bien, non ! (…) ».

Laurence Caramel

Dans ce contexte d’arrogance et de donneur de leçon au monde entier, sans tenir compte de ce problème d’ordre psychologique, sociologique, culturel des Africains, ne voilà-t-il pas que, économiquement piloté par le pouvoir Macron fraîchement réélu, Laurence Caramel, la journaliste championne du vocabulaire destiné aux acculturés peu cultivés, a été spécialement envoyée à Antananarivo (qui n’est pas tout Madagascar, une île de 590.000 km², plus grande que la France, la Belgique, la Hollande et le Luxembourg réunis) pour casser du Rajoelina et, ainsi, déstabiliser la Grande île. Et elle a le culot de clore son dossier de 13 pages en format Pdf, par le paragraphe suivant : « A dix-huit mois de l’élection présidentielle, la tension monte et tous les ferments d’une crise dans laquelle Madagascar n’a cessé de rechuter depuis son indépendance apparaissent de nouveau réunis ». Aucun verbe au conditionnel ! La crise est donc acquise, avec le concours assuré de nationaux et bi-nationaux colonisés jusqu’à la moelle épinière mais réunis pour une cause toujours, tu m’intéresses. On verra.

A propos du CVO de Madagascar -qui fait partie de l’Afrique-, Laurence Caramel n’est pas seulement arrogante mais carrément méprisante : « … La tisane n’est pas la seule extravagance à mettre au bilan du président… ». Quelle extravagance, en effet. Elle écrit sa prose nécolonialiste dans le journal « Le Monde », prestigieux autrefois, à la botte de Big Pharma désormais. Quoi, vous ne le savez pas ?


Tout d’abord sachez que ce journal, qui bénéficie des aides à la presse, est édité par le groupe « Le Monde », détenu en 2021 à 72,5% par la holding « Le Monde libre », dont les propriétaires sont : le milliardaire Xavier Niel (Fondateur et actionnaire principal d'Iliad, groupe de télécommunications français, maison mère du fournisseur d'accès à Internet Free et de l'opérateur de téléphonie mobile Free mobile) ; Madison Cox (paysagiste américain surnommé « le jardinier des milliardaires ») ; Matthieu Pigasse (Directeur général délégué de Lazard Frères (Groupe mondial de conseil financier et de gestion d’actifs à Paris); Daniel Kretinsky (Avocat, homme d'affaires et milliardaire tchèque ayant fait fortune dans le domaine de l'énergie d'origine fossile) et le groupe Prisa (Groupe de presse espagnol coté à la bourse de Madrid. Le nom est le sigle de Promotora de Informaciones Sociedad Anónima).

Plus encore, sachez que le journal « Le Monde » travaille pour Bill Gates et la désinformation vaccinaliste. Eh oui. Laurence Caramel -pauvre Française qui déjà ne doit gagner que des clopinettes au sein de ce club de milliardaires en dollars- n’est plus rien d’autre qu’une plume au service de la Fondation Bill et Melinda Gates qui a massivement investi dans l’industrie Pharma et dans celle des vaccins. Et les « Laurence Caramel » malagasy ne le savent pas ou feignent de l’ignorer mais, en 2019, Bill Gates, à travers sa fondation, a offert plus de 2 millions de dollars au journal « Le Monde », pour la « promotion » du vaccin, donc pour dénigrer toutes les autres possibilités pour lutter contre le covid-19. La preuve est le fac-similé ci-dessous.

Et ce n’est pas fini. « Le Monde » reçoit aussi de l’argent des pouvoirs publics, donc du gouvernement français. D’où l’envoi de Laurence Caramel au lendemain de la réélection d’Emmanuel Macron qui, à présent, voit le Président Andry Rajoelina d'un autre œil.... Gageons que cette journaliste dévaluée reviendra à Antananarivo en 2023, année de l’élection présidentielle à Madagascar. Plus nécolonialiste que jamais. La pauvre.

Cela dit, et Madagascar n’ayant pas été colonisé par l’Espagne, laissons la place à H.E. Manuel Freire-Garabal y Núñez (ci-dessus), à propos de ce que cette Française, qui me fait pitié, ose considérer comme une « tisane », dans le journal « Le Monde » en perte totale de crédibilité.

Pharmalagasy : Du remède traditionnel à la médecine moderne

Le 8 mars 2020, je suis rentré à Madrid après un voyage aux Comores. Deux jours plus tard, le gouvernement espagnol a décrété un lockdown total de trois mois et la plupart des pays ont fait de même, tandis que la population mondiale était déconcertée par les nouvelles terrifiantes diffusées sur toutes les chaînes de télévision et en ligne. Le pessimisme à son comble. Dans ce scénario, ma pharmacienne locale m'a recommandé de prendre des pilules d'huile essentielle de Ravintsara (l'antiviral le plus puissant existant dans la nature) et de boire 2 tasses de thé d'Artemisia par jour ainsi que des comprimés de vitamine d3, de zinc et de quercitine. Elle m'a assuré que ce protocole me protégerait de l'infection par le Covid. Je l'ai suivi à la lettre, tout comme ma famille et mes amis, et jusqu'à présent, nous sommes tous exempts de Covid.

Des plantes locales à la médecine moderne

Deux semaines plus tard, au milieu de la pandémie qui touchait l'ensemble de la planète et alors que les chercheurs des grandes entreprises pharmaceutiques étudiaient comment combattre le coronavirus, les scientifiques de Madagascar ont découvert qu'une combinaison de plantes locales permettait non seulement de guérir le Covid mais aussi de le prévenir. Ce médicament a été lancé sous le nom de Covid Organics et a été développé par l'Institut malgache de recherche appliquée. L'ingrédient principal est l'Artemisia (60%) combiné avec le Ravintsara et d'autres plantes médicinales et ils guérissent les symptômes entre 7 et 10 jours. J'ai été étonné de constater que les deux principaux ingrédients de Covid organics étaient les mêmes que ceux recommandés par mon pharmacien.

Des résultats de recherche prometteurs

Les premiers tests cliniques se sont révélés encourageants en tant que traitement efficace contre la maladie et le remède a été lancé sous forme de boisson par le Président malgache Andry Rajoelina, le lundi 20 avril 2020, pour un usage officiel contre le Coronavirus Depuis, des capsules sont produites. Madagascar a distribué le Covid Organics aux 14 membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), à d'autres nations africaines qui en ont fait la demande ainsi qu'aux pays des Caraïbes. Dans sa déclaration, l'OMS a salué toutes les occasions de collaborer avec les pays et les chercheurs pour mettre au point de nouvelles thérapies, encourageant une telle collaboration pour le développement de thérapies efficaces et sûres pour l'Afrique et le monde.

Il est important de noter qu'en mai 2020, au plus fort de l'infection dans le monde, Madagascar n'avait confirmé que 149 cas de COVID-19, sans décès et avec 99 guérisons, selon les chiffres compilés par l'Université Johns Hopkins basée aux États-Unis. L'Organisation mondiale de la santé et le développement curatif Par la suite, une équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), comprenant des membres du Comité consultatif régional d'experts en médecine traditionnelle pour la réponse au COVID-19 (REACT) et du secrétariat, a rendu compte d'une visite du 14 au 18 février 2022 aux autorités politiques de Madagascar et aux institutions impliquées dans le développement du " CVO- plus curatif " pour le traitement du COVID-19. En effet, dès l'apparition des premiers cas de COVID-19 à Madagascar en mars 2020, les institutions nationales de recherche en santé ont collaboré intensément pour explorer les possibilités de traitement local et proposer une démarche scientifique rigoureuse pour la valorisation de la pharmacopée traditionnelle dans le traitement de la maladie.

Un protocole de recherche clinique a été adapté du protocole cadre élaboré par l'OMS et ses partenaires, approuvé par le REACT et mis en œuvre pour évaluer, entre autres, la qualité, la non-toxicité et l'efficacité de CVO+ Curative. Après avoir fait le point sur les essais cliniques du CVO+ Curatif, la mission a recommandé aux promoteurs de passer au dépôt d'un dossier complet de demande d'autorisation de mise sur le marché auprès de l'Agence du Médicament de Madagascar. Cela signifie que le produit peut désormais être commercialisé à condition que chaque pays puisse accorder une autorisation de mise sur le marché selon la législation en vigueur et selon le Président du Conseil d'administration de Pharmalagasy, Holijaona Raboana.

Faire converger les besoins en infrastructures et en production

Par ailleurs, la mission a noté avec grande satisfaction les bonnes pratiques, notamment celles du Centre National d'Application de la Recherche Pharmaceutique (CNARP), un des 9 Centres Nationaux de Recherche du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, qui dispose d'une unité de recherche clinique avec des chercheurs expérimentés et des infrastructures adéquates. Le gouvernement de Madagascar, sous la direction visionnaire du Président Rajoelina, qui n'a pas succombé à la pression internationale des grandes entreprises pharmaceutiques, encourage les agriculteurs à cultiver l'Artemisia afin d'augmenter la capacité de production de 3.000 tonnes par an. La valeur en tonnes de l'Artemisia est de 3.000 dollars contre 350 dollars pour le riz. L'Artemisia est donc une source de revenus précieuse pour ce pays appauvri.

Holijaona Raboana

D'autant plus que Madagascar "dispose d'une chaîne complète de développement pharmaceutique, de la culture des plantes médicinales à la commercialisation de médicaments efficaces et de qualité, en passant par des partenariats public-privé pour la fabrication industrielle, sans oublier l'engagement et l'implication des responsables de la médecine traditionnelle auprès du ministère de la Santé publique", a souligné le professeur Motlalepula Gilbert MATSABISA, président de REACT à l'issue de la visite. "Nous nous réjouissons de l'engagement des autorités nationales, des chercheurs et du peuple malgache et cela nous encourage à soutenir davantage Madagascar dans les efforts de recherche et de développement de médicaments contre le COVID-19 et d'autres maladies qui entravent le bien-être des populations malgaches et africaines", a déclaré le Dr Marcellin NIMPA, Représentant par intérim de l'OMS à Madagascar.

C'est un paradoxe que le 63ème pays le plus pauvre de la planète ait développé un remède traditionnel en un médicament moderne avec lequel, comme l'a dit le Président Rajoelina : "Nous pouvons changer l'histoire du monde entier".

Par Manuel Freire-Garabal y Núñez - Texte original dans Moral Moda Africa Issue. Published on Apr 27, 2022

Manuel Marchal

A présent, voici des extraits d’un article du Français Manuel Marchal, pour le journal « Témoignages » basé à l’île de La Réunion, département français dans l’océan Indien.

Le 16 février 2022, une délégation de l’OMS est venue à Madagascar. Son objectif consistait à envisager le développement de tous les travaux liés à la conformité du CVO+ au niveau international. Rien que la venue d’une délégation de l’OMS à Madagascar pour évaluer le CVO+ prouve le sérieux et l’intérêt suscités par ce traitement mis au point par nos voisins.

L’OMS propose de passer à l’étape suivante

Cela relativise tout le discours des autorités sanitaires responsables de la lutte contre la COVID-19 au niveau parisien, qui n’hésitent pas à affirmer que le composant principal du CVO et du CVO+, l’artemisia utilisée depuis 2000 ans en Chine, est dangereux pour la santé. Manifestement, la réaction des autorités sanitaires à Paris n’est qu’un moyen de protéger les intérêts des actionnaires des sociétés privées qui s’enrichissent sur le dos de la Sécurité sociale par la vente de plus de 100 millions de doses de vaccins à la France.
La délégation de l’OMS a terminé sa mission à Madagascar, et le bilan est positif.
« Après avoir fait le point des essais cliniques sur le CVO plus curatif, la mission de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) comprenant des membres du Comité consultatif régional d’experts sur la médecine traditionnelle pour la riposte à la COVID-19 (REACT) et du secrétariat, a recommandé de passer à l’étape de dépôt d’un dossier complet de demande d’autorisation de mise sur le Marché auprès de l’Agence du Médicament de Madagascar, rapporte le Ministère de la santé publique », indique notre confrère Orange Madagascar qui poursuit : « Les résultats de cette phase pourraient servir de base au pays, pour envisager une étude multicentrique comparant le CVO+ plus Curatif aux traitements standards avec un nouveau protocole, indique-t-on ».

« Bonnes pratiques » de la recherche pharmaceutique à Madagascar

Et de reprendre les propos tenus par le Professeur Motlalepula Gilbert Matsabisa, Président du REACT, « la mission a noté avec beaucoup de satisfaction des bonnes pratiques, notamment le Centre National d’Application de Recherche Pharmaceutique (CNARP) qui dispose en son sein d’une unité de recherche clinique avec des chercheurs expérimentés et des infrastructures adéquates. Le pays dispose également d’une chaîne complète de valorisation pharmaceutique, allant de la culture des plantes médicinales jusqu’à la mise sur le marché de médicaments efficaces et de qualité, en passant par le partenariat public-privé pour la fabrication industrielle »./.

Enfants et adolescents, avant mai 1972, nous prenions deux comprimés obligatoirement tous les jeudis, contre le paludisme. Originellement à base d'huile essentielle d'eucalyptus ("kininina" en malagasy), la Nivaquine ou hydroxyclhoroquine est devenu un médicament de synthèse fabriqué aux Etats-Unis durant la 2è guerre mondiale pour remplacer la quinine

Pauvre, pauvre Laurence Caramel qui restera à jamais en plan avec son histoire de tisane qui ne sera jamais la tasse de thé des Malagasy. Nous avons hérité de nos ancêtres, des anticorps exceptionnels, grâce à la richesse d’une pharmacopée unique au monde que les nécolonialistes et leurs valets, sur place ou ailleurs, ne parviendront jamais à faire disparaître comme la prise de la nivaquine -à base d'huile essentielle d'eucalyptus- tous les jeudis dans les écoles de Madagascar. En passant, Laurence Caramel -et ses confrères complices nationaux- s’est-elle demandé, ne serait-ce qu’une fois, pourquoi il n’y a eu aucun mort du covid au sein des 4’mis (gens de la rue), au quartier de « La Réunion kely » et aux abords des bennes à ordure, à Antananarivo ?

En tout cas, il faut tout de même admettre que la communication en général, la communication institutionnelle en particulier, n'est toujours pas le point fort de la Présidence de la République de Madagascar. Ceci explique beaucoup cela... Voilà pourquoi certains "intellectuels" ("avara-pianarana") qui se reconnaîtront, s'en donnent à cœur joie pour démontrer qu'ils mourront idiots.

Dossier de Jeannot Ramambazafy

Antananarivo, 17 août 2022

Mis à jour ( Samedi, 20 Août 2022 09:03 )  
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