Le signe universellement connu
Lord Robert Stephenson Smyth Baden-Powell of Gilwell, dit « B.P. » (prononcez Bipi), est né le 22 février 1857 à Londres.
Il est décédé le 8 janvier 1941 au Kenya, au pied du mont Kilimandjaro. Son épouse Olave est née le 22 février 1899. Elle est décédée le 8 janvier 1977. Leurs œuvres leur survivra éternellement car il y aura encore et toujours des garçons et des filles qui suivront ces conseils pour tisser des liens d’amitié à travers tous les continents. Je ne vais pas vous faire découvrir ce qu’est le scoutisme et le guidisme. Vous saurez vous renseigner. Sachez tout de même que les cinq objectifs du scoutisme sont : la santé, le sens du concret, la personnalité, le service, le sens de Dieu
.
Robert Baden-Powell lorsqu’il avait 16 ans
Mais c’est B.P. qui est universellement connu. Ceci est un hommage à un homme d’exception dans ce monde de bruits, de fureurs guidé par le dieu argent et le matérialisme qui ne mèneront jamais à rien du tout.
Lady Olave et Lord Robert Baden-Powell, tous les deux nés un 22 février. Olave : 22 février 1899 (décédée le 19 juin 1977), Robert : 22 février 1857 (décédé le 8 janvier 1941)
J’avais 9 ans lorsque j’étais déjà louveteau de l’actuelle paroisse internationale d’Andohalo. Le pasteur se nommait Lucien Peyrot. 9 ans ! Il y a exactement 48 ans. Malheureusement, très peu de dirigeants malgaches, depuis, ont retenu les leçons de ce grand homme dont la grandeur d’âme était dictée par la foi et l’amour de Dieu. De nos jours, l’amour fait partie de la devise de la IVème république de Madagascar.
L'actuelle paroisse internationale d'Andohalo et le guide des scouts de 1953
Mais il y a des imbéciles qui, sous prétexte de défendre un homme qui n’incarnera plus jamais le changement, se damnent et se condamnent en corrompant jusqu’à la définition de ce mot. Mais si Dieu est amour, qu’ils prennent tous garde à la justice immanente. Car Dieu ne punit pas mais ce sont vos propres actes qui vous puniront. Lorsque vous vous en rendrez compte, ce sera trop tard. Des exemples se comptent par milliards mais lorsque l’on est aveuglé par la haine, le fanatisme, la jalousie, le culte de la personnalité et la culture de l’argent, on oublie les choses toutes simples de la vie.
La tombe de Robert et Olave Baden-Powell
Regardez sur les sites Tim, Gtt et pro-Ravalomanana : qu’est-ce que je n’ai pas reçu comme insultes ! Je n’ai jamais répondu à ces insanités, sauf à Pitchbull de madagoravox. Mais à quoi cela a servi à tous ces anonymes ? A rien, sinon de démontrer leur mal de vivre avant de retourner aussi vite dans leur triste anonymat, après ce qu’ils pensent avoir été leur quart d’heure de gloire. Mais le combat entre le bien et le mal étant éternel, que chacun choisisse son camp. En tout cas, il vaut mieux être Saül transformé en Paul que le contraire. Facebook est une arme à double tranchant inventée par les Américains. Mais beaucoup commencent à déserte ce truc sur l’Internet qui déshumanise. Pour le moment, c’est le paraître qui est tentant mais après…
Baden-Powell en 1912
Baden Powell a eu des réflexions qui doivent être mises en pratique si vous voulez vivre et non survivre pour servir les autres. En voici quelques-unes :
«La Bonne Volonté est la Volonté de Dieu».
«Que ton ambition soit de voir, non pas ce que tu pourras tirer du travail, mais ce que tu pourras y mettre de toi».
«La question n’est pas qu’est-ce que je peux avoir, mais qu’est-ce que je peux donner dans la vie».
«Vous devez toujours essayer de compter sur vous-mêmes et non pas sur ce que les autres peuvent faire pour vous».
«C’est moins par la force de ses armements qu’une nation s’élève au-dessus des autres que par le caractère de ses citoyens».
«Faites votre devoir d’abord, vos droits vous seront reconnus ensuite».
«L’ambition de faire le bien est la seule qui compte».
«La meilleure manière d’atteindre le bonheur est de le donner aux autres».
«La vie est trop courte pour qu’on se dispute».
A l’occasion de ce 22 février 2011, jour des 154 ans de la naissance de B.P., voici son dernier message destiné à tous les scouts du monde entier, qui est une leçon de vie…
L’ultime message de Lord Robert Stephenson Smyth Baden-Powell of Gilwell
« Rappelez vous que c'est le dernier message que vous recevrez de moi, aussi méditez-le.
J'ai eu une vie très heureuse et je voudrais qu'on puisse en dire autant de chacun de vous. Je crois que Dieu nous a placés dans ce monde pour y être heureux et pour y jouir de la vie. Ce n'est ni la richesse, ni le succès, ni la satisfaction égoïste de nos appétits qui crée le bonheur. Vous y arriverez tout d'abord en faisant de vous, dès l'enfance, des êtres sains et forts qui pourront plus tard se rendre utiles et jouir ainsi de la vie lorsqu'ils seront des hommes.
. L'étude de la nature vous apprendra que Dieu a créé des choses belles et merveilleuses afin que vous en jouissiez. Contentez vous de ce que vous avez et faites en le meilleur usage possible. Regardez le beau côté des choses plutôt que le côté sombre.
. Mais le véritable chemin du bonheur est de donner celui-ci aux autres. Essayez de quitter la terre en la laissant un peu meilleure que vous ne l'avez trouvée et quand l'heure de la mort approchera, vous pourrez mourir heureux en pensant que vous n'avez pas perdu votre temps et que vous avez fait de votre mieux.
. Soyez toujours prêts à vivre heureux et à mourir heureux. Soyez toujours fidèles à votre promesse d'éclaireur même quand vous aurez cessé d'être un enfant - et que Dieu vous aide à y parvenir ! "
Votre ami,
Baden-Powell
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Jeannot Ramambazafy – 22 février 2011