Les créatures qui se disent « Malgaches » et qui se sont comportés -et se comportent encore- comme les derniers des colons du XXIème siècle, en ce qui concerne le pays où elles sont nées, finiront-elles pas connaître le sentiment de honte vis-à -vis de leurs descendants qui liront cette Histoire à propos du PTC (Projet de Transport par Câble) initié par l’actuel Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina ? Voire.
En tout cas, après avoir emberlificoté le Sénateur colon communiste, Pierre Laurent, puis le Sénateur républicain, Patrick Chaize (à porteur), c’était au tour du Député LREM (La république en marche) de Macron, Patrice Anato, de monter au créneau, il y a quelques jours. Mais de son propre chef, cette fois-ci, et assez au courant de ce que mobilité urbaine veut dire dans une Capitale ville polluée par des gaz d’échappement plus que nocifs ; au sous-sol inondé à cause de remblais faits n’importe où et n’importe comment ; livrée à une démographie galopante et très envahissante.
Et, contrairement à ces deux « collègues » du Sénat -très mal informés par des « Ravalomananistes » purs et durs (ICI)- qui se sont adressés au Ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, Bruno Le Maire, le Député Patrice Anato, lui, s’est adressé au ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian qui a déjà séjourné à Antananarivo… Il a donc eu un aperçu des embarras de Tana, malgré la rapidité de son cortège. Mais il a effectué un trajet à pieds du côté d’Ankazomanga, au côté du Maire Naina Andriantsitohaina en février 2020. Renseignez-vous, Volatiana, Charlot, Monique and Co (ICI)! Sans parler du Palais d’État d’Iavoloha où il a été reçu par qui vous savez : l’objet de la haine viscérale et épidermique, d’individus qui se disent « patriotes ». Tant pis pour eux, ils mourront idiots.
Trêve de bavardage, voici la question écrite envoyée au Sénat français qui l’a publiée sur son site web, le 25 janvier 2022.
Question écrite n° 43782 de M. Patrice Anato
Projet de transport en commun par téléphériques à Antananarivo
M. Patrice Anato attire l'attention de M. le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères sur le projet d'installation d'un réseau de transport par câble à Antananarivo qui fait suite à un accord de financement signé par la France avec le Gouvernement malgache. Ce réseau de transport par câble, ou téléphérique, sera installé par les acteurs privés français COLAS et POMA d'ici à 2023 sur deux axes de circulation majeurs de la capitale de l'île.
Il permettra de fluidifier la circulation dans la ville, actuellement très embouteillée, grâce à une capacité d'accueil de 40.000 passagers par jour. La mise en œuvre de ce projet incarne la diplomatie économique renouvelée que l'on met en place avec l'Afrique et notamment avec l'Afrique francophone : soutien de projets innovants, vectrice de dynamisme économique, respectueuse des enjeux environnementaux et mettant à l'honneur l'expertise des entreprises françaises dans des partenariats avec l'Afrique.
Plus encore, il correspond en cela à l'avenir du lien entre l'Afrique et la France, engagées dans une collaboration gagnant-gagnant, sur un pied d'égalité. D'un côté, les entreprises françaises peuvent développer des nouveaux segments de croissance à l'international. D'un autre, pour la capitale de Madagascar, ce nouveau réseau de transport en commun représente la création de plusieurs nouvelles zones commerciales, ainsi que de 600 emplois. C'est également une participation directe au développement d'une ville plus verte et plus moderne, un enjeu majeur pour les capitales d'un continent dont la population devrait doubler d'ici à 2050 et dont le développement démographique est parfois exponentiel.
Antananarivo rejoindra ainsi d'autres grandes villes africaines, qui ont fait le choix de ce mode de transport innovant : Alger, Le Cap, Lagos, ou encore Mombasa. Par conséquent, M. le député lui demande quelles mesures de soutien au gouvernement de Madagascar sont prises pour assurer la mise en œuvre rapide et efficace de ce projet. Et il s'interroge également sur quels autres projets de ce type sont et seront soutenus par le Trésor français à Madagascar et plus généralement en Afrique de l'Est et du Sud./.
Après jamais deux sans trois, quel jamais trois sans quatre ces créatures « tsygasytsyvazaha » (faites-vous traduire) vont-ils sortir de leurs grimoires nauséabonds pour tenter de contrer le vrai développement de Madagascar ? Leur pays d'origine, hélas...
Dossier de Jeannot Ramambazafy