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Covid-19. L’émergence des ombres profilées d’une gigantesque cabale

C’est fou mais à Madagascar, j’ai vraiment la sale impression de constater que plus les intellectuels écrivent ou disent quelque chose, plus ils démontrent qu’effectivement la bêtise humaine n’a pas de frontières comme l’a déjà constaté le grand Albert Einstein qui a déclaré : « Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue ».


(«Sehatra Fanaraha-maso ny Fiainam-pirenena» ou Observatoire de la vie publique à Madagascar) qui, depuis sa création il y a 20 ans, en 2001, «observe, analyse, interpelle si nécessaire, et fait part de ses recommandations dès lors que la démocratie et l’État de droit lui semblent être menacés». En fait, depuis son existence, le SeFaFi n’a fait que tirer des plans sur la Comète. Car, qu’est-ce qu’il a changé dans le cours de l’Histoire de Madagascar ? Il y a plutôt eu plusieurs défections dans ses rangs... Mais refuse-t-on le «voninahitra, harena, vatosoa sy volamena», comme le dit une chanson d’antan ? Ses dernières observations, sous forme de communiqué en date du 23 avril 2021, sont tristement imbéciles. Avec un titre faussement empathique («La Covid-19, fossoyeur de la démocratie ?»), pouf, vers la fin, c’est la dictature des mots alignés pour démontrer que les membres du SeFaFi ont suivi de hautes études. De quoi ? Nul ne le sait exactement. Qu’ont-ils écrit ? «L’état d’urgence sanitaire ne saurait être instrumentalisé comme une arme politique pour faire taire les opposants ou asseoir une pensée unique. L’accès des citoyens à une information diversifiée est un droit fondamental qu’il faut absolument respecter, quelle que soit la situation en vigueur dans le pays». Pensée unique. Toujours le même refrain stérile. Passons à des leçons de choses concrètes.

En un mot, l’état d’urgence, c’est la Guerre. Qui de ces clowns littéraires et de ces soi-disant opposants ont vécu la guerre, la vraie, un jour ? Heureusement que toutes les émissions de «radio Miara-manonja» ont, sont et seront enregistrées. Le SeFaFi aura tout à loisir d’écouter leur « liberté d’expression et d’opinion ».


Par ailleurs, cet observatoire oublie bien vite que les droits ne se séparent jamais des devoirs et qu’ils ont leurs limites. Et s’il trouve que l’État d’urgence actuel est « instrumentalisé comme une arme politique pour faire taire les opposants ou asseoir une pensée unique », le SeFaFi n’oublie donc pas qu’il a perdu Parfait Randrianitovina, leur «compagnon de lutte, victime de la Covid-19, le 13 avril  2021», auquel le communiqué est dédié. Si j’agis comme le dernier des imbéciles, je dirais donc que ce monsieur est décédé à cause de l’état d’urgence sanitaire instrumentalisé comme arme politique alors ? 40 ans. C’est le temps que j’ai déjà passé dans le journalisme, bien avant la création de ce SeFaFi. Viendra le temps où je dénoncerai leur mutisme vis-à-vis du pacte de responsabilité -jamais appliqué- de Jean Eric Rakotoarisoa, un des fondateurs de cet observatoire, lorsqu’il a été Président de la Haute cour constitutionnelle. Ils ont cherché à se rattraper vers la fin du régime Hvm mais leur corporatisme, durant 4 ans, aura été plus que flagrant.

Une chose que ce SeFaFi doit se mettre en tête à mon sujet, une fois pour toutes: je ne défends jamais une personne mais toujours les intérêts du grand nombre, depuis la 2è république du régime Ratsiraka à l’actuel 4è république, deuxième partie, du régime Rajoelina, en passant par la 3è république de Zafy et de Ravalomanana et la 4è république, première partie, de Rajaonarimampianina. Encore faut-il aussi rappeler à ce SeFaFi ce que signifie « état d’urgence », sanitaire ou pas. Voici : « L'état d'urgence est une mesure prise par un gouvernement en cas de péril imminent dans un pays. Certaines libertés fondamentales peuvent être restreintes, comme la liberté de circulation ou la liberté de la presse ». Plus encore : des circonstances exceptionnelles, extrêmes, imprévisibles, peuvent amener un État, sur un territoire donné, pour une durée déterminée, à une restriction des lois, réputées démocratiques, et jugées insuffisantes pour faire face à un danger public en cours ou imminent, contrairement aux normes de l'État de droit courant.

Ainsi, l’état d’urgence peut porter sur les crises suivantes : météorologique (catastrophe naturelle : éruption volcanique, typhon, tsunami...), climatique, écologique, environnementale, médicale, sanitaire (risque nucléaire, pandémie), alimentaire (grippe aviaire, vache folle...), économique (rupture des régularités socio-économiques), financière, humanitaire, migratoire, sociale...

Tout cela révélé, grâce à Wikipédia, l’encylopédie libre sur Internet, mon combat contre ce genre de pseudo-intellectuels égocentriques demeure immuable. Ainsi, concernant ce satané coronavirus, le plus important est de l’expliquer en évitant des mots pompeux, pour que tout le monde comprenne. Cette démarche n’est vraiment pas le fort des super diplômés entourant le Président Andry Rajoelina, incapables de communiquer en anticipant les choses et, surtout, incompétents à livrer des explications vraies sur un sujet donné, car ne prenant jamais la peine de se documenter, de faire des recherches. Attendant des ordres et finissant par créer le désordre. Et ils se demandent pourquoi les fake news et la rumeur (« tsaho »), les armes des faibles et des lâches, envahissent les réseaux sociaux.

Ce n’est pas la première fois que la Grande île de l’océan Indien est le théâtre d’une pandémie. Lisez attentivement les extraits suivants de l’ouvrage « Atlas de la peste à Madagascar », de Suzanne Chanteau :


« L’histoire de la peste débute à Madagascar en novembre 1898, au cours de la troisième pandémie, dans la ville portuaire de Tamatave, actuelle Toamasina. Puis l’affection touche d’autres ports : Diégo-Suarez (Antsiranana) en 1899, Mahajanga en 1902 et 1907. Brusquement, en juin 1921, la peste fait une entrée tapageuse dans la capitale, Antananarivo : en trois semaines, 48 personnes, toutes appartenant à deux familles réunies à l’occasion d’un mariage, succombent, victimes d’une épidémie de pneumonie pesteuse. La maladie avait progressé le long de la voie ferrée inaugurée en 1913, depuis le port de Tamatave, comme en atteste un foyer d’épizootie murine découvert à l’époque à Périnet (Andasibe) près de Moramanga. À partir de la capitale, la maladie se propage ensuite très rapidement sur les Hautes Terres.

La peste sème l’épouvante dans la population, en raison tout d’abord de son issue presque toujours rapidement fatale, ensuite par les mesures de lutte appliquées alors par les autorités sanitaires : isolement des malades et des personnes contacts dans les lazarets, destruction par le feu des maisons contaminées, désinfection des marchandises et établissement de cordons sanitaires. C’est dans ce contexte qu’arrive Georges Girard, venu prendre la direction de l’Institut Pasteur de Tananarive. Il maintient les mesures édictées auparavant en y ajoutant le dépistage post-mortem obligatoire pour tous les décès suspects, à partir de prélèvements biopsiques de foie, rate et poumons ». Fin de citation.

La question est : pourquoi, jusqu’à présent, il est interdit de pratiquer une autopsie sur un mort du covid-19 ? Pourquoi cet empressement à tout de suite l’enterrer ? Après quelques recherches, une chose est sûre : l’OMS n’a jamais interdit « mais invite les médecins et les établissements de santé à prendre un maximum de précautions quand ils manipulent des corps de personnes décédées du Covid-19. S’il est pris la décision d’autopsier un corps présumé ou confirmé infecté par le virus de la COVID-19, les établissements de santé doivent vérifier que des mesures de sécurité sont en place pour protéger les personnes qui pratiqueront l’autopsie ». Alors, je repose la question formulée d’une autre manière : pourquoi l’Institut Pasteur de Madagascar n’a-t-il pas pratiqué le dépistage post-mortem d’au moins un décédé du covid-19 ? Surtout dans cette histoire de variants ? Et d’ailleurs, qu’est qu’un variant ? Seconde leçon de choses.


Comme tous les virus, les spécialistes le confirmeront, le coronavirus Sars-Cov-2, amenant le covid-19, se réplique. Le patrimoine génétique du coronavirus est constitué d’une longue séquence ARN (acide ribonucléique) très proche chimiquement de l'ADN (acide désoxyribonucléique, et constitue la molécule support de l'information génétique héréditaire) de 30.000 nucléotides (chacun d’entre eux est désigné par les symboles A, U, G ou C). Pour se reproduire, le Sars-Cov-2 doit réaliser une copie de cette longue séquence. Mais il arrive que des erreurs lors de la copie se produisent : une lettre peut être remplacée par une autre (substitution), effacée (délétion) ou encore ajoutée (insertion). C’est ce que l’on appelle une mutation. Si les mutations semblent être apparues tardivement au cours de cette pandémie, c'est parce que le Sars-Cov-2 est équipé d’un système de correction des erreurs qui a ralenti la vitesse à laquelle celles-ci se sont produites. Dans l’immense majorité des cas, ces mutations aléatoires n’ont d’ailleurs pas d’effet majeur sur le virus, elles sont inutiles pour lui, voire néfastes. Mais il arrive que ces mutations modifient les protéines qui influent sur la capacité de transmission, la vitesse de réplication ou encore les capacités du virus à contourner notre système immunitaire. Dans ces cas précis, le virus ayant bénéficié de ces mutations est alors avantagé : il est plus efficace que la version « classique » du Sars-Cov-2 et se répand plus facilement dans la population.


Mutation et variant. Contrairement aux êtres humains, un virus n’a pas besoin d’une âme sœur pour donner naissance à un enfant : il n’a qu’à entrer dans une cellule humaine dont il pirate le matériel de manière à ce que la cellule infectée engendre un nouveau virus. Au cours de cette opération, il lui arrive très souvent de rater un peu son coup, par simple hasard : un nucléotide est modifié, voire oublié. C’est ce qu’on appelle une mutation ou, dans le second cas, une délétion.

Un variant, lui, désigne un groupe de virus qui ont grosso modo la même séquence génétique, comportant les mêmes mutations ou délétions aux mêmes endroits, et il se répand dans une population au gré des contaminations entre personnes. On parle aussi de souche. (Source : Santé et Science).

Il existe trois catégories de variants :

1. Les variants d'intérêt (variant of Interest) se caractérisent par des marqueurs génétiques pouvant affecter la transmission du virus, son diagnostic, son traitement ou encore la réponse immunitaire ; des preuves que ces variants sont à l'origine d'une augmentation du nombre de cas ou de clusters ; une diffusion qui se limite à un seul pays.

2. Les variants préoccupants (variant of Concern) reprennent les caractéristiques précédentes mais s'y ajoutent : les preuves d'un impact sur les diagnostics, les traitements et les vaccins ; les preuves d'une résistance accrue à certains traitements, les preuves d'une diminution significative de la neutralisation du virus par les anticorps générés lors d'une infection ou d'une vaccination précédente ; les preuves de la réduction de la protection induite par le vaccin contre les maladies graves ; les preuves d'une transmissibilité accrue.

3. Les variants à haut risque (variant of High Consequence) - qui n'ont pas encore été détectés dans le cas du SARS-Cov-2 - incluent les spécificités des variants préoccupants. Cependant il faut y ajouter : l'impact sur les contre-mesures médicales, l'échec des diagnostics, une réduction significative de l'effet des vaccins, une résistance plus élevée aux traitements thérapeutiques, et enfin des cas de maladies plus graves, avec un nombre d'hospitalisations accrues. (Source : Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux U.S.A.).

Les variants se créant lors de la réplication du virus dans l’organisme et lorsqu’une mutation apparaît, il n’y a donc pas d’origine « précise » d’un variant. Cependant, les chercheurs étudient l’hypothèse que les personnes immuno-déprimées puissent présenter un terrain plus propice au développement de ces mutations. Ces malades étant sujets à des contaminations plus longues, la population virale se réplique plus longuement et peut donc permettre au virus d’acquérir une plus grande diversité génétique. Selon Etienne Simon-Lorière, virologue et responsable de l’unité Génomique évolutive des virus à ARN à l’Institut Pasteur : « [...] Ce  variant aurait pu évoluer au sein d'une personne immunodéprimée et dans lequel un nombre plus grand de mutations que ce qu'on attend en moyenne aurait pu se fixer dans le génome puisqu'il n'y avait pas de défenses immunitaires pour essayer de contrer le virus ». Mais combien y a-t-il de variants ?


Ne paniquons pas mais chaque mutation étant à l’origine d’un variant différent, il existe des milliers de variants. En termes de nomenclature, chaque type de mutation donne lieu à un nom spécifique. Selon un système établi par l’université d’Oxford, au Royaume-Uni, tous les variants sont qualifiés par un nom précis dans le cadre des recherches scientifiques. La communauté scientifique cherche à établir une nomenclature idéale et, entre-temps, plusieurs systèmes de dénominations coexistent encore. En règle générale, on commence à nommer les variants par leur origine géographique dans les médias, pour des raisons de facilité, lorsqu'ils sont catégorisés comme « variant préoccupants », c'est-à-dire lorsqu'ils deviennent prépondérants dans la population. Par exemple, le variant anglais. Jusque-là, quatre variants sont particulièrement étudiés :

Le variant anglais, ou VOC2020, ou B.1.1.7, ou 20I/501Y.V1. Détecté pour la première fois au Royaume-Uni en octobre 2020, ce variant contient 17 mutations, dont 8 affectent la protéine spike (Clé permettant au SARS-CoV-2 de pénétrer dans nos cellules). C'est cette protéine spike qui est utile au coronavirus pour se greffer aux récepteurs ACE2, qui permettent au virus d’infecter l’être humain. C’est notamment sur la reconnaissance de cette protéine par notre organisme que reposent les vaccins. Le variant anglais est connu pour être à l’origine d’une contagiosité accrue. Il est également 64 % plus mortel que le virus classique, selon une étude parue dans la revue BJM.

Le variant sud-africain, ou B.1.351, ou 20H/501Y.V2. Ce variant a été découvert, dès août 2020, en Afrique du Sud. Huit de ses mutations affectent également la fameuse protéine spike, dont la mutation N501Y, mais également les mutations E484K et K417N. Le variant sud-africain se distingue par une plus haute contagiosité, sans pour autant être particulièrement plus mortel que le coronavirus classique. En revanche, les vaccins sont moins efficaces pour s’en protéger.

Le variant brésilien ou 20J/501Y.V3. Ce variant a été identifié à l'aéroport de Haneda au Japon, lors d’un dépistage des personnes en provenance de Manaus (Brésil), le 15 décembre 2020. Il existe deux variants brésiliens, nommés P1 et P2. Ils présentent les mutations E484K et N501Y sur la protéine spike. Ce variant inquiète car il est non seulement hautement contagieux mais il semble pouvoir échapper à l’immunité conférée par une précédente infection ou par une vaccination. Il touche également une population plus jeune qu’à l’accoutumée.

Le variant indien ou B.1.617. Ce variant indien a été repéré pour la première fois le 5 octobre 2020, lors du dépistage d'un homme de 31 ans dans l'état du Maharashtra. Extrêmement dangereux, le variant indien est appelé par les médias « double mutant ». En, effet, il faut savoir que le variant indien possède deux mutations sur la protéine spike qui sert au virus à se fixer au récepteur ACE2, présent sur les cellules qu'il infecte. Ces deux mutations sont les suivantes : la mutation L452R semblable à celle observée sur le variant californien, et l'autre, appelée E484Q, est proche d'une autre mutation (E484K) détectée sur les variants brésilien et sud-africain. (Sources pour les 4 variants: médias divers fracophones et anglophones )

Ces quatre variants sont les plus souvent cités, car ils ont pris le pas sur les contaminations «classiques» dans de nombreux pays. Mais il existe de nombreux autres variants. En France, par exemple, on a récemment parlé du variant dit «breton» : ce variant présente 9 mutations concernant la protéine spike. S’il fait parler de lui, c’est parce qu’il semble être bien plus difficile à détecter à l’aide des tests PCR : un malade non-détecté risque d’être plus à risque, car pris en charge trop tardivement. Enfin, comme par enchantement, on ne parle plus de la Chine, ni de Wuhan, pays et localité par où tout a commencé en décembre 2019. Car là-bas, la pandémie a été maîtrisée. Comment ? « Ny soa fianatra »…


Pour en revenir à Madagascar, c’est dans ce genre d’informations que le SeFaFi doit jouer le rôle d’observateur et cesser de se prendre pour des intellectuels au-dessus du lot. Quel lot, d’ailleurs ? Nous sommes tous sur le même bateau. A quoi, à qui servira donc les 434 pages de l’ouvrage « D’une crise à l’autre (2001-2013 », publié chez L’Harmattan ? Covid ou pas, nous mourrons tous un jour ou l’autre. Laissez donc des archives réalistes, corrigeant vraiment les erreurs, à la Nation malagasy. Evitez de suivre les traces de Transparency International Madagascar. Cette entité locale n’aura plus de sous pour fonctionner si elle ne crée pas la zizanie avec des faits déformés. Comme tant d’autres entités dites de la société civile, et certain(e)s collègues toujours en quête de scoop d’ailleurs. A ce sujet strict de nos jours et avec les réseaux sociaux : « Zava-poana dia zava-poana, eny, zava-poana ny zavatra rehetra (Ny Mpitoriteny 1 : 2).

Troisième et dernière leçon de choses : les gars, pour l’heure, c’est la Guerre. Et le danger peut effectivement venir des dirigeants s‘ils s’entêtent à être opaques dans leurs décisions sans anticipation. Le covid-19 n’atterrira pas à Madagascar en parachute mais bel et bien dans des vols venus de l’extérieur qu’il faut stopper net, sans recours à un quelconque effet rétroactif ! Et, encore une fois, la communication c’est expliquer, expliquer, expliquer et non pas étaler un savoir qui ne mène nulle part sauf sur le chemin vers la débilité mentale de tout un peuple.


Et pour en revenir à mon titre, oui : je suis intimement convaincu qu’il existe une cabale et la définition ci-après vous éclairera sur ce à quoi je veux en venir. La cabale est une forme de complot ourdi par un groupe de personnes unies autour d’un projet secret visant à conspirer pour le succès de leurs opinions et de leurs intérêts au sein d’un État ou d’une communauté donnée (Wikipédia). Dans le cas de la pandémie actuelle, c’est l’humanité tout entière elle-même qui est prise en otage par ces intérêts. Ils ont l’argent, les moyens, les robots… pour téléguider et faire aboutir leurs intérêts communs.


Ils ont seulement oublié une chose : la colère divine qui punit la cupidité. Qu’est-ce ? C’est la recherche immodérée du gain et des richesses. Passion humaine, la cupidité se distingue de l’avarice, de la convoitise ou de l’avidité. Le philosophe écossais Adam Smith a présenté la cupidité sous deux formes : «désir d’enrichissement» et jouissance. Et comme vous êtes parvenu(e)s à cette dernière phrase, je vous dis : « Merci d’être vivant(e)s !», comme l’aurait dit le journaliste Big Max Ratsimandisa.


Dossier de Jeannot Ramambazafy - Egalement publié dans "La Gazette de la Grande île" du 28 avril 2021


Mis à jour ( Mercredi, 28 Avril 2021 14:52 )  
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